C'est sûr. j'ai lu un livre sur le sujet, mais j'ai dû garder en tête que tout n'y est pas vrai. Je crois que personne ne connais la véritable histoire de cette femme.

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Époustouflant Darren Aronofsky...

Même si l'on ne retrouve pas ce film sa touche si épileptique ou magique, on plonge dans un monde miteux, pauvre, pitoyable et dégueulasse...l'autre monde d'une star du catch qui, en dehors du ring, n'est ni plus ni moins qu'une épave sans vie, envie ni attache.
Une fille qui le déteste, une femme absente, une strip-teaseuse pour qui il établie des relations douteuses...et des combats, des combats...

Un film magnifique et touchant qui nous laisse pénétrer les coulisses d'un sport certes très violent superficiellement mais qui devient incroyablement attachant vu de l'intérieur.
Mais un monde underground reste un monde sans fric, sans Argent et éphémère (la première scène est explicite). Ainsi, derrière la bête du ring se cache un semi-clodo qui ne peut qu'évoquer la sympathie et la pitié d'un spectateur touché par ce colosse finalement si sensible et juste.

Comme d'habitude, le final surprend...et l'on en reste un peu hagard, certes moins qu'après Requiem for a Dream ou The Fountain, moins trituré qu'après Pi mais simplement touché et ému par ce très très beau film, filmé d'une main de maitre et sans aucune concession, ôtant toute la magie et ce que certains décrire comme de la superficialité dans son film précédent. Ici, tout est cru...notre émotion aussi.

Merci Aronofsky, une fois de plus...

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Welcome to the Desert of the Real

Amen!

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Welcome to the Desert of the Real

Yamakasi

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Moyen, il a beaucoup vieilli

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Et le corbeau, immuable, est toujours installé, toujours installé sur le buste pâle de Pallas, juste au-dessus de la porte de ma chambre ; et ses yeux ont toute la semblance des yeux d’un démon qui rêve ; et la lumière de la lampe, en ruisselant sur lui, projette son ombre sur le plancher ; et mon âme, hors du cercle de cette ombre qui gît flottante sur le plancher, ne pourra plus s’élever, — jamais plus !

Passager 57. Le film d'action classique des années 90.
Celui qui le regardera aujourd'hui n'en retiendra sans doute pas grand chose, mais ça reste un divertissement de qualité avec un gentil qui s'appelle John comme toujours (Jack parfois aussi, ça dépend les films ), un méchant vraiment méchant, deux girls assez bien roulées (bah oui), une mamie marrante, et des personnages secondaires qui mettent en valeur le héros. De ce film que je connais depuis mon enfance (j'ai vu cramer la première télé que j'ai connue alors que le générique de fin de Passager 57 apparaissait, pour l'anecdote), je retiendrai des combats au corps à corps très bien orchestrés, la présence notamment de Wesley Snipes et Tom Sizemore à l'écran et une très bonne B.O. de Stanley Clarke qui voyage entre Jazz et Funk :
http://www.youtube.com/watch?v=czXjhogWa6w
Quelques explosions forcées sont peut-être à signaler, mais ce sont les ficelles de l'époque. Bon divertissement.

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Que dites-vous ?... C'est inutile ?... Je le sais !
Mais on ne se bat pas dans l'espoir du succès !
Non ! non, c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !

pour moi c'est un très bon film

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Ri Yo Avan Yo Ri'w Paskè Si'w Pa Ri Yo Yo Ké Ri'w

 
Un des must du cinéma asiatique.

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Que du bon